Etle Sénégal n'est pas épargné. "La sécurité sanitaire des aliments, c’est l’affaire de tous. Chacun est en droit d’avoir accès à une nourriture qui pourra être consommée sans danger nutritif et en quantité suffisante", explique le Pr Diouf. Les aliments impropres sont aussi responsables de nombreuses maladies, selon Pr Amadou Diouf,
L'actualité de l'OMS Page d'accueil/ Communiqués de presse/ item/ La sécurité sanitaire des aliments est l’affaire de tous Célébrée le 7 juin dans le monde entier, la toute première Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments des Nations Unies a pour objectif de garantir la sûreté de la nourriture que nous année, près d'une personne sur dix dans le monde soit près de 600 millions de personnes tombe malade et 420 000 d'entre elles meurent après avoir ingéré de la nourriture contaminée par des bactéries, des virus, des parasites ou encore des substances chimiques. Les aliments dangereux ont également pour effet de freiner le développement dans de nombreuses économies à faible et à moyen revenu, ces dernières perdant près de 95 milliards de dollars en productivité. A cela s'ajoutent les maladies, les handicaps et les décès prématurés chez les sécurité sanitaire des aliments, une affaire de tous tel est le thème de la Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments pour cette année 2019. La sécurité sanitaire contribue à la sécurité alimentaire, à la santé humaine, à la prospérité économique, à l'agriculture, à l'accès aux marchés, au tourisme et au développement a désigné deux de ses agences, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture FAO et l'Organisation mondiale de la santé OMS afin de mener à bien les efforts visant à promouvoir la sécurité sanitaire des aliments à travers le FAO et l'OMS unissent leurs forces en vue d'aider les pays à prévenir, à gérer et à réduire les risques associés à la filière agroalimentaire, en travaillant aux côtés des vendeurs et des producteurs alimentaires, des autorités réglementaires et des principaux acteurs de la société civile, en fonction du lieu de production de la nourriture, à savoir si celle-ci est produite au niveau national ou importée.Si vous êtes un agriculteur, un fournisseur agricole, un transformateur alimentaire, un transporteur, un négociant ou un consommateur, la sécurité sanitaire des aliments vous concerne. Il n'y a pas de sécurité alimentaire sans sécurité sanitaire des aliments», a déclaré M. José Graziano da Silva, Directeur général de la FAO.Les aliments dangereux tuent près de 420 000 personnes chaque année. Ces décès peuvent totalement être évités», a précisé Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l'OMS. La Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments est une occasion unique de sensibiliser les gouvernements, les producteurs, les prestataires et les consommateurs aux dangers des mauvais aliments. De la ferme à l'assiette, nous avons tous un rôle à jouer pour rendre l'alimentation plus sûre», a-t-il serait rentable d'investir dans des systèmes alimentaires durablesLa FAO et l'OMS soulignent l'importance du fait que tout le monde puisse avoir accès à une nourriture saine et nutritive en quantité suffisante et que la salubrité des aliments est essentielle à la promotion de la santé et à l'éradication de la faim, soit deux éléments primordiaux des Objectifs de développement aliments sûrs permettent non seulement un apport convenable en nutriments mais aussi de mener une vie saine. La production d'aliments de bonne qualité contribue à améliorer la durabilité et la productivité en facilitant l'accès aux marchés, ce qui a aussi pour effet de stimuler le développement économique et de réduire la pauvreté, surtout en milieu davantage dans l'éducation à la salubrité alimentaire auprès des consommateurs peut potentiellement contribuer à réduire les maladies d'origine alimentaire, avec notamment un retour sur investissement de 10 dollars pour chaque dollar à la Journée internationale de la sécurité sanitaire des alimentsLes activités organisées autour de la Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments visent à encourager le public à agir en vue de prévenir, de détecter et de gérer les dangers sanitaires associés à l' bonnes actions tout au long de la filière agroalimentaire, des agriculteurs aux consommateurs, ainsi qu'une bonne gouvernance et des règlementations sont essentielles afin de parvenir à la sécurité sanitaire des FAO et l'OMS ont créé un nouveau guide pour montrer comment chacun de nous pourrait participer. Le guide propose cinq étapes pour changer la donne et parvenir à la sécurité sanitaire des alimentsS'assurer que la nourriture soit sans danger. Les gouvernements doivent s'assurer que la nourriture soit sans danger et sans aucun risque. L'agriculture et les producteurs alimentaires doivent adopter de bonnes pratiques. Manipuler avec soin. Les opérateurs économiques doivent s'assurer que la nourriture est transportée, stockée et préparée sans aucun risque. Vérifier que les aliments soient sans danger. Les consommateurs doivent pouvoir accéder à des informations claires et fiables, en temps opportun, sur les risques nutritionnels et les risques de maladies associés à leurs choix équipe pour parvenir à une meilleure sécurité sanitaire. Les gouvernements, les organismes économiques régionaux, les organisations onusiennes, les agences de développement, les organisations de commerce, les groupes de consommateurs et de producteurs, les institutions universitaires et de recherche et les structures du secteur privé doivent travailler ensemble sur les problèmes liés à la sécurité sanitaire des aliments. Dorénavant, la date du 7 juin sera l'occasion de souligner les bienfaits associés à une nourriture saine. La Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments a été adoptée par l'Assemblée générale des Nations Unies en décembre 2018. Le processus a été initié en 2016 par le Costa Rica, par le biais de la Commission du Codex Alimentarius, une structure gérée par la FAO et l' et chiffres clés sur la sécurité sanitaire des alimentsPrès de 600 millions de personnes - soit presqu'une personne sur 10 dans le monde - sont tombées malades après avoir mangé de la nourriture contaminée et 420 000 d'entre elles meurent chaque enfants âgés de moins de cinq ans représentent, à eux seuls, 40 pour cent du fardeau des maladies d'origine alimentaire, avec 125 000 décès chaque maladies d'origine alimentaire trouvent leur origine dans les bactéries, virus et substances chimiques qui pénètrent dans le corps à travers la nourriture ou l'eau maladies d'origine alimentaire entravent le développement socioéconomique en mettant à rude épreuve les systèmes de santé et en fragilisant les économies, le tourisme et le commerce valeur du commerce alimentaire s'élève à 1,6 trillion de dollars américains, ce qui représente environ 10 pour cent du commerce mondial certaines estimations, les aliments dangereux coûtent aux pays à faible et à moyen revenu près de 95 milliards de dollars chaque année en perte de des pratiques en matière d'hygiène dans les secteurs de l'alimentation et de l'agriculture peuvent aider à réduire l'émergence et la propagation de la résistance aux antimicrobiens tout au long de la chaîne alimentaire et dans l'environnement. Paul Garwood Chargé de communication OMS
Commelui, les deux autres invités de l’émission, Pr Mamadou Samaké et Dr Mariam Djibrilla Maïga, ont insisté sur la coopération civilo-militaire. Mieux impliquer la population dans sa propre sécurité. C’est la
Le saviez-vous ? 70% des accidents impliquant un engin de manutention pourraient être évités avec une formation et des mesures de sécurité adéquates. De ce fait, Manitou Group met la sécurité de ses utilisateurs au cœur de ses priorités avec deux axes clairement définis la prévention et l’ajout personnalisé de systèmes de sécurité sur ses machines. En 2018, une nouvelle version de la plateforme visant à améliorer la qualité de vie au travail des utilisateurs, est lancée. L’accent est alors porté sur la sensibilisation et la sécurité avec la démarche Reduce Risks. Les objectifs ? Orienter les utilisateurs dans leur choix d’équipements et les conseiller sur une utilisation sécurisée des machines au quotidien. Pour y parvenir, un important dispositif d’informations est mis à disposition, via une bibliothèque multimédia composée de près de 300 vidéos, de notices d’instruction, posters de prévention, conseils de sécurité et de maintenance. Parallèlement, des systèmes de sécurité spécifiques sont créés pour s’adapter aux besoins et contraintes de chaque client en fonction de son environnement de travail. Chez Manitou Group, l’entité Solutions Spéciales est dédiée aux demandes particulières de l’ensemble de ces utilisateurs, tout marché et toute application confondus. Les équipes étudient, conçoivent et produisent des machines sur mesure. L’expertise de notre service Solutions Spéciales crée une réelle valeur ajoutée dans la réalisation des projets de nos Cuvelier, Manager Solutions Spéciales De nombreuses réalisations augmentent ainsi le niveau de sécurité sur les machines système anti-incendie, caméra de recul permettant la détection de piétons, limiteur de vitesse, fonction anti-démarrage lorsque la ceinture de sécurité n’est pas bouclée, ou encore ceinture trois points pour limiter les risques en cas d’accidents, etc. “L’expertise de notre service Solutions Spéciales crée une réelle valeur ajoutée dans la réalisation des projets de nos clients, explique Laurent Cuvelier, manager Solutions Spéciales. Pour certaines adaptations spécifiques, Manitou Group propose également, au sein de notre centre de formation basé à Ancenis, des formations aux techniciens de notre réseau de concessionnaires ou aux utilisateurs finaux, pour une meilleure prise en main des machines, toujours dans un souci de sécurité. L’étendue du réseau de distribution dans le monde entier, s’appuyant sur une documentation technique dédiée propre aux spécificités des équipements et répondant aux normes et obligations locales, est très importante pour l’accompagnement après-vente des utilisateurs sur le terrain. Nous attachons aussi beaucoup d’importance à la maintenance des pièces spécifiques avec un délai d’approvisionnement toujours plus réduit, afin de ne pas pénaliser l’activité de nos clients et leurs conditions de travail. La sécurité et la santé des utilisateurs est notre priorité, et surtout l’affaire de tous.” Accéder au site
Tousdeux représentent autant de corps qui travaillent au quotidien en étroite collaboration pour assurer la sécurité de tous . Walter Lens a rappelé que « le dispositif de participation citoyenne est une démarche de sécurité globale et solidaire. Celle-ci implique la commune, l’Etat et les forces de sécurité, à savoir la Gendarmerie nationale. Elle
Et de trois ! Le député Thomas Gassilloud poursuit sa série de débats publics, dans la 10e circonscription de Lyon. Objectif donner la parole aux citoyens et renforcer le lien entre le local et le national ». Après l’éducation à Saint-Genis-Laval puis le numérique à Charbonnières-les-Bains, le comité de circonscription animé par Fabienne Tirtiaux, a réuni la population à l’espace culturel Éole, à Craponne. À l’ordre du jour la sécurité au quotidien, un thème sensible et ô combien d’actualité, après cette terrible attaque au couteau perpétrée quelques jours auparavant à Paris. Si la réunion citoyenne a été suivie, dans la salle, par quelque 160 personnes, le débat continue en ligne, sur la page facebook de Thomas Gassilloud où l’enregistrement complet a déjà été visionné près de 800 fois. Face à la menace terroriste omniprésente, la sécurité nationale est devenue l’une des priorités de l’État. Pas un hasard si le ministère de l’Intérieur est l’un des rares à voir son budget augmenter +9%, tient à préciser, d’emblée, Thomas Rudigoz, député du Rhône et membre de la commission des lois. Tout en rappelant, au passage, la réactivité du gouvernement en la matière, avec notamment la mise en application de la loi Silt Sécurité intérieure et lutte contre le terrorisme qui a fait suite à l’État d’urgence prorogé jusqu’en novembre dernier, un état exceptionnel qui ne pouvait plus durer », explique l’élu ; le vote d’un autre texte sur l’assignation à résidence et les visites domiciliaires » et la décision de recruter, d’ici à la fin du mandat d’Emmanuel Macron, 10 000 hommes et femmes pour compléter les effectifs de police et de gendarmerie. Depuis 15 mois, 22 attentats ont été déjoués », souligne-t-il. Pas de quoi, pourtant, rassurer les citoyens. Dans la salle, l’un d’eux s’interroge sur le nombre de fichés S »… Cinq cents, souffle-t-on, dans le département du Rhône. A la tribune, le maire de Craponne, Alain Galliano, vice-président de la métropole de Lyon, serait d’avis d’en connaître les identités sur sa commune de 12 000 habitants. Je comprends cette demande, c’est un vrai débat », reconnaît Thomas Rudigoz. Reste à savoir comment une telle révélation serait appréhendée par un élu, compte tenu des peurs qu’elle peut susciter. Le risque étant qu’un ou une maire un peu fébrile, panique et crée plus d’émois et d’inquiétudes dans sa commune », relève-t-il. Comme le rappelle le colonel Thibault Lagrange, commandant du groupement de gendarmerie du Rhône, un fiché S est une personne signalée dans un cadre préventif du risque terroriste ». Par définitions, les fichés S peuvent, par leur activité ou leur entourage, représenter un risque de trouble à l’ordre public ou une atteinte à la sûreté de l’État. Dans ce fichier, on estime la dangerosité d’humains, or cette estimation est humaine et n’est donc, par essence, pas parfaite », tempère le colonel. A la question de rendre public un tel fichier, Thomas Gassilloud se montre, avec le recul, dubitatif, l’intérêt de la fiche S étant que l’individu ne sait pas qu’il est sous surveillance », commente-t-il. A l’échelle locale, Olivier Rigal, commandant de la compagnie de gendarmerie de l’Arbresle – l’une des deux compagnies avec celle de Givors, dans la 10e circonscription de Lyon qui compte 6 brigades territoriales – dresse un état des lieux de la délinquance. Même si le territoire reste plutôt privilégié, l’insécurité se traduit par une délinquance au spectre très large », de la petite délinquance du quotidien à la fermeture, il y a trois ans, d’une mosquée salafiste sur le secteur de l’Arbresle, rouverte depuis avec un imam modéré. En 2017, le nombre d’interventions variait selon les communes, entre 800 à Saint-Laurent-de-Chamousset, et 2160 à Saint-Genis-Laval, avec, un point noir dans l’Ouest lyonnais les cambriolages ». Le maire de Craponne, le reconnaît Les incivilités, la petite délinquance, les cambriolages ou les vols à l’arrachée, arrivent chez nous depuis une quinzaine d’années », lâche-t-il, amer. Dans ce contexte, la commune a notamment investi 400 000 € pour rapprocher sa police municipale dans le centre-ville et a fait installer 16 caméras fixes et 4 mobiles. Nous travaillons étroitement avec la gendarmerie », confirme le maire. Le commandant Rigal l’assure la vidéoprotection apporte une aide dans la résolution des affaires », pour repérer par exemple un numéro d’immatriculation. Pour autant, de l’avis des intervenants, la sécurité reste l’affaire de tous ». Aussi, la gendarmerie lance-t-elle un appel, par la voix du commandant de la brigade de l’Arbresle On a besoin de la population vos yeux et vos oreilles nous permettent d’orienter nos recherches, insiste-t-il. N’hésitez pas à nous contacter ». Le mieux étant d’appeler directement le 17, lorsque vous repérez un comportement suspect ». Les dispositifs de participation citoyenne c’est le cas à Craponne, comme le rappelle le maire, avec 20 référents dans 9 quartiers de la commune » entrent pleinement dans cette démarche. Nous sommes aussi sur le point de créer, à défaut d’un Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance CLSPD, un comité de veille de la délinquance avec toutes les parties prenantes dont une synergie entre la police municipale et la gendarmerie pour assurer le bien vivre ensemble », poursuit M. Galliano. Le lancement récent de la police de sécurité du quotidien par Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, a pour objectif de recréer cette proximité avec la population, les commerçants, les élus, les partenaires, bailleurs sociaux et autres… », explique Thomas Rudigoz. Dans le Rhône, en zone police, le quartier des Minguettes, à Vénissieux, et celui de Mermoz, à Lyon, ont été retenus par le gouvernement, ainsi que quelques autres dans le 8e arrondissement. Des quartiers avec de grosses problématiques de délinquance la volonté est de renforcer ici, les effectifs de police avec, aussi, des moyens supplémentaires en matière d’équipements modernes pour l’ensemble des équipages. » Les bailleurs sociaux se doivent, eux aussi, de jouer un rôle actif, pour préserver la tranquillité de nos résidents et leur assurer un environnement paisible », témoigne Céline Naquin, chef du projet sûreté à Lyon Métropole Habitat. A l’échelle du Grand Lyon, quatorze bailleurs se mobilisent au sein d’un dispositif visant à améliorer la tranquillité de leurs locataires. Cela passe par la mise en place d’agents de médiation et d’agents de sécurité dans des résidences ciblées ; des agences de proximité ; des actions de développement social et de prévention », énumère-t-elle. Mais aussi des réaménagements, dans les immeubles, des halls traversants ou des recoins plus ou moins sombres… Dans le Grand Lyon, 4408 intervention ont ainsi été menées l’an dernier. Mais tout cela a un coût », reconnaît Mme Naquin. En tant qu’acteurs de la sécurité, les bailleurs sociaux préconisent des évolutions législatives. Nous avons demandé que le délit d’occupation des parties communes, passible de six mois d’emprisonnement et de 7500 € d’amendes, très difficile à caractériser et donc à appliquer, bascule en contravention la sanction serait immédiate dès lors que les forces de l’ordre constateraient l’infraction », évoque-t-elle. Autre proposition des bailleurs sociaux obtenir un droit de résiliation du bail pour des locataires investis dans des trafics de stupéfiants, dans leur résidence ou dans leur logement ; ainsi que la possibilité de déposer une plainte en cas d’agression d’un collaborateur. Or, aujourd’hui, ils ne le font pas car ils ont peur des représailles, et les bailleurs ne peuvent pas se substituer à eux car ils ne sont pas les victimes directes ». Et de proposer, dans la foulée, la mise en place de référents bailleurs » auprès des tribunaux afin de mieux suivre les plaintes, leurs suites judiciaires et de traiter avec eux sur des secteurs relativement sensibles ». Le commandant Rigal se montre pragmatique. Deux tiers des infractions n’ont pas d’auteurs identifiés. Sur le tiers des infractions avec auteurs identifiés, moins de la moitié font l’objet de poursuites. Sur la moitié des auteurs d’infractions identifiés et poursuivis, moins de 10% sont incarcérés. Des réponses alternatives sont apportées pour tout le reste. Et malgré tout, les prisons sont pleines… » De là à imaginer des stages de rééducation au bon civisme », selon l’expression de Thomas Gassilloud… Certes, les tribunaux peuvent condamner les petits délinquants à des travaux d’intérêt général. Mais les procédures sont longues, avec le sentiment, pour la population, que rien ne se passe », souffle quelqu’un dans l’assistance… Peut-être faudrait-il simplifier tout cela et permettre aux maires d’infliger des travaux d’intérêt général ? », s’interroge Thomas Gassilloud. Le Cdt Rigal rappelle au passage la comparution immédiate », une des rares procédures judiciaires dans laquelle on a une quasi-immédiateté de la sanction pénale par rapport à la commission des faits. Existe aussi le rappel à la loi par officier de police judiciaire le magistrat nous prescrit de rappeler à l’intéressé ce qu’il encourt en cas de récidive ». C’est cette nouvelle forme de petite délinquance qui crée ce sentiment d’insécurité et qui pourrit la vie au quotidien, conclut le maire de Craponne. Comment ramener les auteurs de ces actes sur le droit chemin ? Je suis prêt à leur tendre la main, mais cette main, ils n’en veulent pas ! On n’en peut plus ! » Le service national universel, appelé de ses vœux par le Président de la République, serait-il l’une des solutions, glisse le député Thomas Gassilloud. Ce sera le mot de la fin… et peut-être l’objet d’un prochain débat ? Mathieu Girandola Les autres questions de l’assistance Comment combattre les armes blanches ? Comment interdire l’arme blanche, alors qu’on en a tous, chez soi ? Le législateur, dans sa grande sagesse, a posé le principe du trouble à l’ordre public », répond Olivier Rigal, commandant de la compagnie de gendarmerie de l’Arbresle. En matière de sécurité sur internet, comment éviter les escroqueries ? Le thème a fait l’objet d’un précédent débat public. Le colonel Lagrange met en garde Internet est un espace de vie exactement comme le monde réel. Chaque fois que vous vous posez une question sur Internet, demandez-vous comment vous feriez dans le monde réel. » Autrement dit, ne faites pas sur Internet ce qu’il ne vous viendrait même pas à l’idée de faire dans la vie réelle… comme, par exemple, publier des photos de famille dans un magazine ! sic L’état d’urgence a-t-il permis de réduire le nombre d’armes lourdes circulant en ville ? Des perquisitions ont amené, dans une minorité de cas, à la découverte d’armes, dont des armes lourdes », reconnaît Olivier Rigal. Quant au trafic d’armes, il se fait à bas bruit, à bas niveau, à très faible volume on doit saisir en France, une centaine de kalachnikovs par an, c’est relativement faible comparativement au nombre d’armes saisies, entre 5 et 8 000. Le trafic d’armes lourdes est très difficile à entraver. » Quelle est l’efficacité des caméras de vidéoprotection ? La vidéo-protection fonctionne de deux façons, répond Olivier Rigal. La première avec un opérateur derrière qui est capable de renseigner à l’instant T, quand les faits se produisent, et donc d’alerter le coût est important. Ce système fonctionne très bien pour les incivilités. La deuxième façon de travailler est celle de l’enregistrement. On ne pourra pas procéder à une interpellation immédiatement mais on va pouvoir récupérer les éléments de preuves qui permettront de confondre l’individu et de le sanctionner pénalement, et cela fonctionne très bien. Les caméras sont un apport très important dans la résolution d’affaires. » Beaucoup d’automobilistes roulent sans permis et ne sont punis que d’une amende de 800€… La justice peut prononcer une confiscation du véhicule, note le commandant Rigal. Mais la sanction effectivement n’est pas immédiate et l’auteur de ce délit repartira, avec une convocation en justice pour une date ultérieure. Une campagne de la Prévention routière essaie en ce moment de sensibiliser ces conducteurs sur les conséquences financières d’un accident causé en cas de défaut d’assurance ou de permis c’est une conséquence pécuniaire à vie. Malheureusement, c’est un message qu’on a du mal à faire passer aux délinquants routiers qui sont totalement hermétiques à ce sujet. »
Lasécurité au quotidien est l’affaire de tous Titre Publié le 10/10/2019 à 02:55 | Mis à jour le 10/10/2019 à 02:55
Par Jean GauryPublié le 01/02/2013 à 0h00 Mardi dernier, la commune de Bonzac recevait la brigade autonome territoriale de Guîtres pour faire le bilan de son inspection en présence des élus. Dix communes étaient représentées par leur maire. Jean-Louis Biais, maire de Bonzac, souhaitait la bienvenue aux gendarmes, puis a donné la parole à l'adjudant-chef Didier Landry, chef de la brigade de Guîtres. Avant de présenter les résultats du travail de la brigade au cours de l'année 2013, l'adjudant-chef a annoncé la promotion de deux gendarmes. Taux d'élucidation en hausse L'adjudant Renaud Salmagne a été élevé au grade d'adjudant-chef et Jean-Michel Berdié au grade de brigadier. Didier Landry rappelait les objectifs pour 2012 faire baisser la délinquance générale, notamment la délinquance sur les routes. Si le nombre d'interventions des agents de la brigade et des enquêtes judiciaires sont en augmentation, on note une légère augmentation de la délinquance générale et une diminution de la délinquance de proximité ainsi qu'un taux d'élucidation de cette délinquance générale en forte augmentation ; il est passé de 37,7 % en 2010 à 58,5 % en 2012, ce qui a valu les félicitations du commandant Stéphane maires ont été très attentifs à l'analyse géographique commune par commune. Toutes les communes sont en baisse. Une attention particulière a été portée pour la commune de Saint-Martin -du-Bois, où la délinquance a doublé en trois ans. Sécurité routièreNeuf accidents ont fait un tué et 15 blessés en 2012 un mort de moins qu'en 2011. La répression route vitesse, alcool est, par contre, en augmentation. Le chef de brigade a fixé les objectifs pour 2013 maintenir la répression sur les routes du canton vitesse, alcool, maintenir les taux d'élucidation des faits de délinquance et augmenter le taux d'élucidation concernant les vols et ce sujet, un technicien de l'identification judiciaire sera engagé sur tous les cambriolages. La parole a été donnée par la suite au commandant Stéphane Procédès, qui a bien entendu félicité les personnels de la brigade pour ses bons résultats et la collaboration des élus de chaque commune. La sécurité, c'est l'affaire de tous », concluait le commandant.
Lasécurité est l’affaire de tous; Morin a fait un rêve mardi 4 juin 2019. par Daniel Morin. La sécurité est l’affaire de tous . 3 minutes
Paris AFP - Les spécialistes de la cybercriminalité se réunissent cette semaine à Monaco avec pour ambition d'étendre à l'ensemble de la population les comportements et réflexes qui permettront de mieux résister à des pirates informatiques de plus en plus audacieux. "Se protéger, ça passe par des règles", explique à l'AFP le directeur général de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information Anssi, Guillaume Poupard. "Il y a des règles de conception des systèmes, des règles d'administration de ces systèmes, des règles de gouvernance, des règles de comportement de la part des agents... Quand vous appliquez toutes ces règles et que vous le faites proprement, ça ne garantit pas une sécurité à 100%, mais il n'y a plus grand chose qui passe", estime-t-il. Le propos peut paraître bien optimiste, alors qu'on apprend tous les jours ou presque que des cybercriminels arrivent à se promener dans des systèmes informatiques les plus divers, volent des fichiers, détournent de l'argent ou menacent de tout bloquer. "Au sein des entreprises, il y a évidemment un responsable de la sécurité des systèmes d'information il est indispensable, mais pas suffisant. L'idée, c'est vraiment de se dire que chacun est acteur de cette cybersécurité le PDG, le directeur juridique, le directeur financier... Chacun à un rôle à jouer", souligne-t-il. Y compris l'intérimaire, généralement oublié dans les procédures, alors qu'il a souvent accès aux systèmes. Pas étonnant, dans ce contexte, que les Assises de la sécurité et des systèmes d'information soient de moins en moins une réunion de spécialistes. Quelque personnes y sont attendues de mercredi à vendredi, à Monaco. La menace reste des plus sérieuses, d'autant que le problème de la sécurité informatique a longtemps été négligé. L'Etat a identifié plus de 200 opérateurs d'importance vitale OIV, privés et publics, "qui exploitent ou utilisent des installations jugées indispensables pour la survie de la Nation". La loi de préparation militaire les oblige désormais à suivre toute une série de règles très strictes pour faire face à la menace cyber, sous la surveillance de l'Anssi. - Rendre les attaques publiques - Et pour les autres ? Rien d'obligatoire, pour l'instant, mais du bon sens. "Il y a des chefs d'entreprises qui viennent me voir pour me demander ce qu'ils doivent faire, alors qu'ils ne sont pas des OIV", raconte Guillaume Poupard. "Et bien, la même chose!" Les entreprises devront de toute façon réagir parce qu'une directive européenne va les obliger en 2018 à rendre public tout vol de données personnelles. Or, jusqu'à présent, la plupart d'entre elles préfèrent garder secrètes les attaques dont elles font l'objet. Pour des raisons d'image, et aussi, note pour mieux réagir face aux pirates. "On va voir le vrai visage de la sécurité des sociétés françaises, et ça va faire peur", prédit Jérôme Robert, responsable du marketing chez Lexsi, une société spécialisée tout juste rachetée par Orange. Le plus souvent guidés par l'appât du gain, mais aussi par des motivations idéologiques, les cybercriminels s'introduisent au coeur du système des entreprises, généralement en passant par les ordinateurs de certains employés. Et pour approcher lesdits employés, on leur fait ouvrir des pièces jointes par mail, on les envoie cliquer sur des pages web vérolées ou on leur met entre les mains une clef USB corrompue. Une fois dans la place, les pirates peuvent tranquillement piller les ressources de l'entreprise attaquée - pour la plus grande joie d'un concurrent, par exemple - voire prendre le contrôle de ses équipements. Quitte à représenter un véritable danger, puisqu'ils pourraient ainsi faire dérailler un train, prendre le contrôle d'une voiture autonome, polluer l'approvisionnement d'une ville en eau ou faire sauter une raffinerie. Sans en arriver à de telles extrémités, les cybercriminels font de plus en plus chanter leurs victimes en s'introduisant dans leurs ordinateurs pour les bloquer ou en crypter le contenu. Et là , ce ne sont pas seulement des entreprises, mais aussi des particuliers, qui sont victimes de ces "ransomwares", et qui ne peuvent espérer récupérer leurs données qu'en payant une rançon.
Unepiqûre de rappel ne fait jamais de mal. C’est dans cette optique que le maire de Saint-Georges-lès-Baillargeaux, Éric Ghirlanda
La sécurité sur les pistes de ski alpin est assurée dans chaque station par le service des pistes composé de personnels qualifiés spécialement formés et entraînés les pisteurs-secouristes, les conducteurs d’engins de damage, les nivoculteurs, les artificiers, les observateurs nivo-météo, les maîtres-chiens d’avalanche, les opérateurs du central des pistes. Mais la sécurité c’est aussi l’affaire de tous! Pour que votre séjour se passe au mieux et sans encombre, des règles sont à respecter. Alors prenez un instant pour connaître ces règles en visionnant le reportage ci-dessous. Les 8 règles du Piste X Code La difficulté des pistes Pour sécuriser la pratique du ski alpin, les pistes sont classées en quatre catégories identifiées par un code couleur selon leur niveau de difficulté. Des balises sont positionnées sur l’un des bords de la piste pour vous permettre de vous repérer. Elles sont numérotées par ordre décroissant et indiquent le nom de la piste sur laquelle vous évoluez. Par exemple, le chiffre 1 sur fond vert signifie que vous êtes arrivé en bas d’une piste verte. Autrement dit, en bas d'une piste de niveau facile. En cas d'accident, les indications "nom de la piste" et "n° de balise" doivent être communiquées pour faciliter l’éventuelle intervention du service des pistes. A titre d'information, seules les pistes déclarées ouvertes sont contrôlées par les pisteurs, en dehors de celles-ci vous évoluez à vos risques et périls. Pour précision, sont affichés sur les lieux de passage les plus fréquentés le bulletin météorologique et le bulletin sur le risque d'avalanche. Se préparer avant son séjour - Préparé Le ski ou le surf reste un sport. Alors pensez à vous échauffer, à doser vos efforts et vous hydrater correctement et tout ira bien! - Équipé Pour bien skier, vous devez d’abord choisir un matériel adapté à votre niveau technique, votre taille et votre poids. Le réglage et l’entretien des fixations sont ensuite essentiels pour limiter les risques en cas de chute ou de choc. Pour cela, demandez conseil dans les magasins spécialisés. - Protégé La tête est très exposée dans les sports de glisse. Pour limiter les traumatismes, portez un casque! - Assuré Les secours sur pistes ne sont pas gratuits... Avant de vous lancer, vérifiez que vous êtes bien assuré. En savoir plus sur l'assurance ski... LAISSEZ-VOUS SURPRENDRE Réservez votre forfait
Lasalubrité des aliments est la responsabilité et l’affaire de tous. De nos jours, la nourriture est transformée en quantités beaucoup plus importantes et distribuée sur de plus longues distances que jamais auparavant. Une vaste collaboration et la contribution de tous les acteurs de la chaîne d’approvisionnement sont donc capitales pour la sécurité sanitaire
Une stratégie de communication pour être acteur de la mise en œuvre d'une démarche préventive La prévention des risques professionnels qui a pour objectif de préserver la santé et la sécurité au travail des salariés, passe par une communication irréprochable et efficace ! Le travail évolue sans cesse ainsi que les tâches et les outils confiés. D’où la nécessité d’être acteur de la mise en œuvre d’une démarche préventive structurée et planifiée. C’est pour cela, que Changement de décor vous propose ce qu’il se fait de mieux en terme d’outils de communication dans la prévention des risques professionnels Afin de prévenir ces risques professionnels, nous intégrons à votre communication globale cohérente qui passe par la prise de conscience individuelle, une saynète de 20 minutes prête à jouer ». ObjectifsOrganisationThèmesExtraitsObjectifs L’intervention, de l’un des outils de Communication du theatre Entreprise de Changement de decor », qui est la saynète » prête à jouer » vous permettra de guider vos collaborateurs vers les principes généraux et les bonnes pratiques qu’il est indispensable de connaître dans le cadre de la sécurité au travail. Le travail change et se transforme. La concentration des collaborateurs est différente de l’époque de la signalétique affichées sur les murs de l’entreprise, qui ne suffit plus. Une communication globale cohérente est indispensable pour avoir l’adhésion de l’ensemble des équipes. C’est pour cela que l’originalité de notre moyen de communication servira à la mise en place d’initiatives en alliant les acteurs internes CHSCT, Services de santé au travail. Il est donc primordial d’avoir l’adhésion pérenne de chacune et chacun avec une approche originale. Travailler ensemble pour la prévention des risques professionnels, c’est assurer la réussite et l’efficacité de votre communication dans votre démarche de prévention des risques professionnels. Organisation Saynète de 25 minutes à 3 Aucun délai de scénarisation n’est à prévoir, puisque les saynètes sont déjà écrites et prêtes à être jouées. Il est cependant possible de prévoir une scénarisation sur-mesure via notre prestation saynète sur mesure Option possible La saynète peut être accompagnée d’un quiz boîtier de vote interactif et système de vote interactif pour faire participer de façon ludique les collaborateurs. Une intervention “happening” ou “effet surprise” est également possible. Cela a l’avantage de surprendre, de façon ludique, le public, donc de capter encore plus leur attention. Il est tout à fait envisageable de faire intervenir avec les comédiens, des collaborateurs de l’entreprise. Pour cela, il faudra prévoir des répétitions avec ceux-ci. Thèmes Les thèmes d’intervention de cet outil de communication de la prévention des risques professionnels Nécessité de l’entreprise de mettre en place une vraie politique de sécurité au travail Conduites à risques et alcool au volant Comportement à risques sur son lieu de travail ou lors du trajet travail Non signalement des dangers ou d’un dysfonctionnement Mauvaise évaluation de l’Entreprise des risques professionnels DUER Économie sur les moyens et l’humain Extraits Extraits – Et alors toi, la ceinture, tu la mets jamais sur ton engin… – Mais je conduis un chariot élévateur ! Pas une Porsche ! – Oui c’est vrai ça avance pas vite… – Ben oui ! – Mais ça fait rien tu prends un risque quand même.. – Hé j’ai 30 ans de boite ! Tu vas m’apprendre mon métier hein ! – Non mais… – Même dans ma bagnole je la mets jamais alors ! – lève les yeux au ciel en soupirant et en s’éloignant Ah la la…. … – Ah ça c’est bien passé ce rendez-vous ! – Très bien ! Et on le fête dignement ! – Ah ça ! C’est délicieux ce restaurant ! – Hein ! Je te l’avais dit… – Ah oui tu n’as pas menti !… De l’apéritif au dessert c’est une merveille… – Et ce St Emilion ! A se mettre à genoux devant ! – C’est vrai… – Toi qui me disais Oh une bouteille ça va peut-être faire beaucoup » Et ben regarde… On l’a descendue ! – Oui ça coule tout seul… T’as raison… Une demie ça aurait peut-être fait un peu juste… – Et comment ! Et ce petit calva avec le café ça fait bien couler tout ce que l’on a mangé… – C’est sûr !… – Mais les meilleures choses ont une fin… Malheureusement il va falloir y aller… – Regardant sa montre Oui on a tout juste le temps ! – Alors allez ! C’est parti !
Laresponsabilité en SST : l’affaire de tous! Tout le monde le sait, mais est-ce que tout le monde le fait? Pour que cela fonctionne vraiment en santé-sécurité, pour les meilleurs résultats, c'est-à -dire, le moins d’accidents possible, voire même, zéro accident, il est essentiel que tout le monde dans l’entreprise prenne ses responsabilités.
Enconclusion. Assurer la sécurité en ligne dans les écoles est une question importante dans le paysage éducatif d’aujourd’hui et continuera de l’être à mesure que l’éducation en ligne prendra le dessus sur de plus en plus de salles de classe. Chacun a besoin de soutien et de conseils pour prendre la meilleure décision face aux
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la sécurité est l affaire de tous