Lhomme Ă  la voiture rouge. ACHETER. Description. DĂ©tails. ÉtĂ© 53 : la tranquillitĂ© apparente d'un hameau et de ses habitants est troublĂ©e par une succession d'Ă©vĂ©nements Ă©tranges. D'abord, il y a cette voiture qui plonge PrĂ©sentation Informations PrĂ©sentation EtĂ© 53 la tranquillitĂ© apparente d'un hameau et de ses habitants est troublĂ©e par une succession d'Ă©vĂ©nements Ă©tranges. D'abord, il y a cette voiture qui plonge dans le fleuve, au milieu de la nuit, et ce curĂ© qui s'en sort miraculeusement indemne. D'oĂč vient-il ? Et pourquoi reste-t-il ? Puis le vieux LĂ©on, unique tĂ©moin du passĂ©, qui meurt en emportant ses lĂ©gendes. Enfin, lorsque l'Ă©tranger Ă  la voiture rouge s'arrĂȘte quelques jours plus tard, juste avant le premier orage, tout bascule vraiment. Ici, chacun semble redouter cet homme, se cacher Ă  son approche. Quel secret peut-il bien dĂ©tenir qui mettrait en pĂ©ril les existences ? MenĂ©e comme une quĂȘte initiatique et racontĂ©e Ă  travers le regard d'une enfant, cette histoire cruelle rĂ©vĂšle la fragilitĂ© des ĂȘtres, leurs fractures, leurs mensonges et les masques qu'ils empruntent pour continuer de vivre. Informations Editeur Fayard Auteurs Franck Balandier Publication 28 mars 2000 Supports Livre papier d'occasion Nombre de pages Livre papier d'occasion 155 Format en mm Livre papier d'occasion 120 x 187 Poids en grammes 175 Livre papier d'occasion EAN13 Livre papier d'occasion 9782213606088 Sur des thĂšmes similaires du mĂȘme auteur BERTRANDGUAY - AFP/Archives. Un homme, soupçonnĂ© d'un braquage Ă  la voiture-bĂ©lier contre une boutique de luxe dans la nuit de lundi Ă  mardi Ă 
Vous pouvez utiliser cette photo libre de droits "L'homme ouvre la porte rouge de la voiture ." Ă  des fins personnelles et commerciales conformĂ©ment Ă  la licence Standard ou Étendue. La licence Standard couvre la plupart des cas d’utilisation, comprenant la publicitĂ©, les conceptions d’interface utilisateur et l’emballage de produits, et permet jusqu’à 500 000 copies imprimĂ©es. La licence Étendue autorise tous les cas d’utilisation sous la licence Standard avec des droits d’impression illimitĂ©s et vous permet d’utiliser les images tĂ©lĂ©chargĂ©es pour la vente de marchandise, la revente de produits ou la distribution pouvez acheter cette photo et la tĂ©lĂ©charger en haute dĂ©finition jusqu’à 6763x4237. Date de l’upload 6 avr. 2019
durée: 00:18:40 - Le Feuilleton - C'est dans les rues de Stalingrad que s'était décidé le sort de la guerre. L'issue de cette bataille allait définir la carte du monde de l'aprÚs-guerre. L'issue de cette bataille allait définir la carte du monde de l'aprÚs-guerre.
Enfants 5 minutes Ă  lire PubliĂ© le 27/03/22 Partager Hubert-FĂ©lix ThiĂ©faine Ă  15 ans deuxiĂšme Ă  gauche, en 1963, avec son groupe Les Squelets. Collection personnelle Grandi dans le Jura au sein d’une famille nombreuse avant d’étudier au sĂ©minaire, le chanteur se souvient des musiques de son enfance. Un itinĂ©raire marquĂ© par les yĂ©yĂ©s et le rock anglo-saxon de Bob Dylan et des Rolling Stones. Jeune adolescent, Hubert-FĂ©lix ThiĂ©faine rĂȘvait de devenir chanteur en Ă©coutant Richard Anthony et Johnny Hallyday. À l’occasion de sa tournĂ©e avec son album GĂ©ographie vide, il nous parle des musiques qui ont marquĂ© son enfance. OĂč avez-vous passĂ© votre enfance et dans quel milieu ? Jusqu’à l’ñge de 12 ans, j’ai grandi Ă  Dole, dans le Jura, dans un milieu ouvrier catholique pratiquant, entourĂ© de cinq frĂšres et sƓurs. Mon pĂšre Ă©tait conducteur typographe dans une imprimerie et ma mĂšre, femme au foyer. Notre maison se trouvait Ă  la frontiĂšre entre la ville et les champs, comme je le dĂ©cris dans la chanson La Ruelle des morts. J’avais quelques copains dans le quartier, mais j’étais un enfant un peu fragile. DĂšs mon plus jeune Ăąge, ma mĂšre, qui avait dĂ©celĂ© en moi une fibre artistique, m’a inscrit dans une Ă©cole de musique et Ă  des cours de dessin. À l’ñge de 12 ans, j’ai demandĂ© Ă  entrer en pension dans un petit sĂ©minaire pour fuir le milieu hostile et violent de l’école, oĂč je souffrais de ce qu’on appelle aujourd’hui le harcĂšlement scolaire. J’ai rĂ©intĂ©grĂ© un parcours ordinaire au lycĂ©e. AprĂšs mon bac, pour Ă©chapper au service militaire, j’ai traĂźnĂ© trois ans en fac de droit et de psychologie. Vos parents Ă©coutaient-ils de la musique ? Dans les annĂ©es 1920-1930, ma mĂšre allait Ă©couter les chanteurs des rues qui se produisaient sur les marchĂ©s et leur achetait les partitions. Elle nous chantait toujours des chansons pour nous bercer. Les cantiques de la messe, mĂȘme si j’en souris, ont eu aussi leur importance dans mon Ă©ducation musicale. Dans les annĂ©es 1950, mes parents mettaient la radio quand elle voulait bien marcher. Il y avait des feuilletons, je me souviens de L’Homme Ă  la voiture rouge, des jeux comme Quitte ou double. À la maison, j’entendais les musiques que mes frĂšres aĂźnĂ©s Ă©coutaient. L’un d’eux Ă©tait fan de musique classique. Mon autre frĂšre aĂźnĂ©, lui, adorait les tout premiers groupes de rock. DĂšs mon arrivĂ©e au sĂ©minaire, Ă  12 ans, je me suis fixĂ© pour but de devenir chanteur aprĂšs avoir dĂ©couvert, grĂące Ă  un camarade, les chansons yĂ©yĂ© de Johnny Hallyday, Claude François ou Richard Anthony. “À 12 ans, quinze jours aprĂšs mon arrivĂ©e au sĂ©minaire, j’ai montĂ© mon premier groupe. On chantait a cappella en jouant de la guitare sur un manche Ă  balai.” Quelle est la chanson prĂ©fĂ©rĂ©e de votre enfance ? J’ai le souvenir de la chanson L’Âme des poĂštes, de Charles Trenet, qui est passĂ©e Ă  la radio un samedi aprĂšs-midi d’hiver, dans la maison de mes parents qui venaient tout juste d’y emmĂ©nager. Je devais avoir 4 ou 5 ans. Encore aujourd’hui, quand je l’entends, presque inconsciemment les images de ce moment privilĂ©giĂ© dĂ©filent dans ma tĂȘte et me font toujours vibrer. À la mĂȘme Ă©poque, mes frĂšres chantaient souvent Mes jeunes annĂ©es, Ă©galement de Charles Trenet. J’ai beaucoup aimĂ© le milieu familial de ces annĂ©es d’enfance. C’était un cocon qui me soulageait des angoisses et des difficultĂ©s que je rencontrais dans les cours de rĂ©crĂ©ation. Quel est le premier concert auquel vous avez assistĂ© ? Je devais avoir 16 ans. Avec des copains, nous sommes allĂ©s voir le concert d’Antoine et Les ProblĂšmes, Ă  Annecy. La forme de ses chansons se rapprochait de ce que faisaient les Anglo-Saxons. À cette Ă©poque, on dĂ©couvrait Bob Dylan et les Rolling Stones, et quelque part il s’en inspirait. J’aimais son cĂŽtĂ© provocateur, son humour et sa dĂ©contraction. Il y avait des atomes crochus entre son spectacle et ce que j’avais en tĂȘte. J’écrivais dĂ©jĂ  des chansons et je sentais que nous Ă©tions dans la mĂȘme lignĂ©e. Avez-vous appris la musique Ă©tant enfant ? À 8 ans, aprĂšs avoir pris des cours avec une trĂšs vieille dame qui nous faisait solfier des partitions pendant des heures sans explication, je me suis sauvĂ© de l’école de musique en criant Plus jamais la musique » ! Quelques annĂ©es plus tard, quand j’ai dĂ©couvert les yĂ©yĂ©s et les groupes anglo-saxons, j’entendais les adultes dire avec beaucoup de condescendance que ce n’était pas de la musique. Ce qui m’a permis de monter mon premier groupe sans renier ma promesse d’enfant. Puisque ce n’était pas de la musique, alors je pouvais en faire ! À 12 ans, quinze jours aprĂšs mon arrivĂ©e au sĂ©minaire, j’ai montĂ© mon premier groupe. On chantait a cappella Ă  la rĂ©crĂ©ation en jouant de la guitare sur un manche Ă  balai. On s’est d’abord appelĂ© les Machucambos, mais comme le nom existait dĂ©jĂ , j’ai trouvĂ© le nom des CaĂŻds Boys qui sonnait beaucoup plus viril. À 14 ans, j’ai montĂ© un autre groupe, Les Squelets, cette fois avec de vrais musiciens guitare, claviers, et flĂ»tes. On reprenait du Johnny Hallyday et du Richard Anthony, et je chantais aussi une de mes premiĂšres chansons, Merda Zuta Twist. AprĂšs avoir jouĂ© avec plusieurs groupes au lycĂ©e et Ă  la fac, riche d’une quarantaine de chansons, j’ai dĂ©cidĂ© d’aller Ă  Paris continuer l’aventure tout seul. Les deux premiĂšres annĂ©es ont Ă©tĂ© laborieuses. Il Ă©tait trĂšs difficile de trouver des lieux oĂč se produire. Je faisais des petits boulots, jusqu’au jour oĂč j’ai pu jouer dans les cabarets de la rue Mouffetard, notamment au PĂ©trin, oĂč nous Ă©tions une quarantaine de chanteurs et comĂ©diens. TrĂšs vite, je me suis rendu compte que les artistes qui avaient un travail alimentaire Ă  cĂŽtĂ© Ă©taient beaucoup moins bons que ceux qui y consacraient tout leur temps. En 1973, j’ai créé le spectacle de vingt chansons Comme un chien dans un cimetiĂšre. Refusant de gagner ma vie autrement qu’en faisant de la musique, je me suis condamnĂ© Ă  ne pas manger Ă  ma faim pendant un certain temps, jusqu’à en tomber malade. C’était une histoire de vie ou de mort. Pour arriver Ă  faire ce mĂ©tier comme on l’entend et comme on le dĂ©sire, il faut tout lĂącher, ne pas craindre de vivre des choses difficiles, ĂȘtre dans la survie
 Petit Ă  petit, mon public s’est Ă©largi, mais c’est seulement Ă  la sortie de mon troisiĂšme album, en 1980, que les choses se sont amĂ©liorĂ©es. Vous souvenez-vous de la premiĂšre chanson que vous avez Ă©crite ? C’est la chanson Merda zuta twist, que je chantais avec les CaĂŻds Boys au sĂ©minaire. Les paroles du premier couplet Ă©taient Cent vingt Ă  l’heure dans un virage / J’me casse la gueule contre un platane. » Celles du deuxiĂšme Regarde un peu ce lance-boulettes/Ça c’est un truc perfectionnĂ©. » J’ai oubliĂ© le reste
 J’étais en cinquiĂšme. On m’avait demandĂ© d’en changer certaines paroles parce que, pour un sĂ©minariste, elles n’étaient pas trĂšs correctes. J’en avais fait quatre versions une en français, une en allemand, une en latin et une en grec ! Les airs de jeunesse de Florent Marchet, de Orchestral Manoeuvres in the Dark Ă  Chopin 6 minutes Ă  lire Les airs de jeunesse de Enfants Ă©couter Partager Contribuer
UnedeuxiĂšme plainte, pour harcĂšlement, exhibition et agression sexuelle a Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e mercredi au commissariat du XVIe arrondissement de Paris contre le journaliste Jean-Jacques Bourdin, rĂ©vĂšle Le Parisien. Elle vient s’ajouter Ă  une autre pour "tentative d'agression sexuelle" dĂ©posĂ©e par la journaliste Fanny Agostini, pour des faits prĂ©sumĂ©s datant de 2013.
Accueil > Ebooks > L'homme Ă  la voiture rouge 2. À la Foire du TrĂŽne RĂ©sumĂ© DĂ©tails CompatibilitĂ© Autres formats Pour remercier la bande des Aigles rouges qui l’a aidĂ© Ă  terminer en beautĂ© l’affaire des Cadrans de BX 13, Steph emmĂšne ses jeunes complices Ă  la Foire du TrĂŽne. Mais lĂ , Steph disparaĂźt mystĂ©rieusement. Qui pourra mettre Didier et Tony sur la piste de l’homme Ă  la voiture rouge ? Sophie, la vieille cartomancienne, dont le regard perçant renferme un abĂźme de menaces ? Gustave, le gĂ©rant du manĂšge aĂ©rien, qui vit dans la terreur ? Hilda, l’étrange propriĂ©taire du stand de tir, devant lequel Steph a Ă©tĂ© vu pour la derniĂšre fois ? Heureusement, Ruby, la cĂ©lĂšbre voiture rouge, se rĂ©vĂ©lera de façon stupĂ©fiante la meilleure alliĂ©e des trois amis. Lire plusexpand_more Titre L'homme Ă  la voiture rouge 2. À la Foire du TrĂŽne EAN 9782307182825 Éditeur FeniXX réédition numĂ©rique Date de parution 01/01/1962 Format ePub Poids du fichier Inconnue Protection Filigrane numĂ©rique L'ebook L'homme Ă  la voiture rouge 2. À la Foire du TrĂŽne est au format ePub protĂ©gĂ© par Filigrane numĂ©rique check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur application iOs et Android Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur My Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur le lecteur Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur liseuse. Je crĂ©e ma liste d’envies Vous devez ĂȘtre connectĂ©e pour pouvoir crĂ©er et sauvegarder votre liste d’envies cancel DĂ©jĂ  cliente ?Se connecter Pas encore inscrite ?Mon compte Un compte vous permettra en un clin d’oeil de commander sur notre boutique consulter et suivre vos commandes gĂ©rer vos informations personnelles accĂ©der Ă  tous les e-books que vous avez achetĂ©s avoir des suggestions de lectures personnalisĂ©es Livre non trouvĂ© Oups ! Ce livre n'est malheureusement pas disponible... Il est possible qu’il ne soit pas disponible Ă  la vente dans votre pays, mais exclusivement rĂ©servĂ© Ă  la vente depuis un compte domiciliĂ© en France. L’abonnement livre numĂ©rique Vivlio shopping_basketL’abonnement credit_cardInformations bancaires local_libraryEt j’en profite ! check_circle Chaque mois, bĂ©nĂ©ficiez d’un crĂ©dit valable sur tout le catalogue check_circle Offre sans engagement, rĂ©siliez Ă  tout moment ! L’abonnement livre numĂ©rique Vivlio shopping_basketL’abonnement credit_cardInformations bancaires local_libraryEt j’en profite ! Vous allez ĂȘtre redirigĂ© vers notre prestataire de paiement Payzen pour renseigner vos coordonnĂ©es bancaire Si la redirection ne se fait pas automatiquement, cliquez sur ce lien. Bienvenue parmi nos abonnĂ©s ! shopping_basketL’abonnement credit_cardInformations bancaires local_libraryEt j’en profite ! Épisode2/5 : La mort de Lady Diana et la fin de l'Ăąge d'or des paparazzis. Mardi 27 juillet 2021. Écouter (59 min) Unes des journaux français consacrĂ©es Ă  Lady Diana, dĂ©cĂ©dĂ©e des suites d'un accident de voiture dans la nuit du 30 au 31 aoĂ»t 1997 dans le tunnel du Pont de l'Alma Ă  Paris. ©AFP - Gabriel Bouys. PublicitĂ©. ÉtĂ© 53 la tranquillitĂ© apparente d'un hameau et de ses habitants est troublĂ©e par une succession d'Ă©vĂ©nements Ă©tranges. D'abord, il y a cette voiture qui plonge dans le fleuve, au milieu de la nuit, et ce curĂ© qui s'en sort miraculeusement indemne. D'oĂč vient-il ? Et pourquoi reste-t-il ? Puis le vieux LĂ©on, unique tĂ©moin du passĂ©, qui meurt en emportant ses lĂ©gendes. Enfin, lorsque l'Ă©tranger Ă  la voiture rouge s'arrĂȘte quelques jours plus tard, juste avant le premier orage, tout bascule vraiment. Ici, chacun semble redouter cet homme, se cacher Ă  son approche. Quel secret peut-il bien dĂ©tenir qui mettrait en pĂ©ril les existences ? MenĂ©e comme une quĂȘte initiatique et racontĂ©e Ă  travers le regard d'une enfant, cette histoire cruelle rĂ©vĂšle la fragilitĂ© des ĂȘtres, leurs fractures, leurs mensonges et les masques qu'ils empruntent pour continuer de vivre. Retrouvezl'ebook L'homme Ă  la voiture rouge (1). Les cadrans de BX 13 par Michel Averlant au format PDF sur cadrans de BX 13 par Michel Averlant au format PDF sur decitre.fr Apparemment, javascript est dĂ©sactivĂ© sur votre navigateur.
Accueil L'homme Ă  la voiture rouge Tome I Les cadrans de BX 13 Collection La Chouette n°214 CatĂ©gorie Livres d'occasion 1961 - Occasion - Etat Correct - Un peu abĂźmĂ©, jauni 1 12,72 € Informations complĂ©mentaires Infos dĂ©taillĂ©es RĂ©sumĂ© Acheter L'homme Ă  la voiture rouge Tome I Les cadrans de BX 13 de Michel Averlant ; Yves Jamiaque d'occasion. chez Ditis Genre Policier SĂ©rie Radio Luxembourg 187 pages Paru en 1961 dans cette collection Au volant de sa voiture rouge, Steph Bernier, le champion de tennis, va d'une capitale Ă  l'autre disputer des matches internationaux et, au passage, tombe dans d'Ă©tranges aventures. Il semble avoir le talent de se fourrer toujours dans les coups les plus durs, dans les intrigues les plus inextricables. Pourtant il ne se doutait pas, en pre nant ce jour-lĂ  l'autoroute de l'ouest pour aller rendre visite Ă  ses amis Tony, Maryse et Didier, Ă  la station service de Suresnes, qu'il deviendrait quelques minutes plus tard, le principal acteur du mystĂšre des cadrans radioactifs de BX 13 ! Cette dangereuse- affaire qui dĂ©marre comme une . course contre la montre, il la mĂšnera au volant de Ruby, roulant de jour et de nuit Ă  la poursuite des deux BrĂ©siliens, du Havre Ă  Avignon, d'Avignon Ă  Paris. Mais, malgrĂ© sa tĂ©nacitĂ©, parviendra-t-il Ă  triompher sans l'aide de Tony, les encouragements de Maryse et les Ă©tonnantes astuces du petit Didier ? Source Ditis L'homme Ă  la voiture rouge Tome I Les cadrans de BX 13
Rennes Radio. Le comĂ©dien FrĂ©dĂ©ric Pierrot, voix d’Antonio Otero Seco. Dans un feuilleton radiophonique, la documentariste Mariana Otero nous emporte dans le

Au volant de sa voiture rouge, Steph Berrier, le champion de tennis, va d'une capitale Ă  l'autre, disputer des matches internationaux et, au passage,... Lire la suite 6,99 € E-book - PDF Ebook TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 6,99 € Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat DĂšs validation de votre commande Offrir maintenant Ou planifier dans votre panier Au volant de sa voiture rouge, Steph Berrier, le champion de tennis, va d'une capitale Ă  l'autre, disputer des matches internationaux et, au passage, tombe dans d'Ă©tranges aventures. Il semble avoir le talent de se fourrer toujours dans les coups les plus durs, dans les intrigues les plus inextricables. Pourtant, il ne se doutait pas, en prenant ce jour-lĂ  l'autoroute de l'ouest pour aller rendre visite Ă  ses amis Tony, Maryse et Didier - Ă  la station service de Suresnes - qu'il deviendrait, quelques minutes plus tard, le principal acteur du mystĂšre des cadrans radioactifs de BX 13 ! Cette dangereuse affaire, qui dĂ©marre comme une course contre la montre, il la mĂšnera au volant de Ruby, roulant de jour et de nuit Ă  la poursuite des deux BrĂ©siliens, du Havre Ă  Avignon, d'Avignon Ă  Paris. Mais, malgrĂ© sa tĂ©nacitĂ©, parviendra-t-il Ă  triompher sans l'aide de Tony, les encouragements de Maryse, et les Ă©tonnantes astuces du petit Didier ? Date de parution 01/01/1961 Editeur Collection ISBN 2-307-51619-0 EAN 9782307516194 Format PDF Nb. de pages 200 pages CaractĂ©ristiques du format PDF Pages 200 Taille 35 215 Ko Protection num. Digital Watermarking

\n \n \nl homme Ă  la voiture rouge feuilleton radio
L' homme à la voiture rouge. Voici l'un des deux visuels du célÚbre feuilleton radiophonique mis en ondes entre 1961 et 1963. Un feuilleton palpitant écrit par Yves Jamiaque. Il était diffusé chaque soir sur Radio Luxembourg, Radio

"60 secondes chrono" de Dominic Sena 2000En incarnant Memphis, ancien braqueur de voitures se voyant investi de la mission d’en voler cinquante en une seule nuit, Nicolas Cage lui-mĂȘme amateur de grosses cylindrĂ©es porterait presque le film, mais il n'est pas loin de se faire voler la vedette par une Angelina Jolie teinte en blonde pour l’occasion. A part ça, le film est sympathique comme un nanar attendrissant. Et puis on y croise Robert Duvall l'avocat de la famille Corleone et l'ex footeux gallois et maboule Vinnie Jones."Ho!" de Robert Enrico 1968Coureur automobile ratĂ©, Belmondo sert dĂ©sormais de chauffeur Ă  une bande de voleurs de banques. Malheureux au volant de sa DS, il entreprend de reprendre les commandes de son existence et roule pour lui. Sa passion pour la flambe et les belles cravates - notamment en fibres de coco - le conduise inĂ©vitablement Ă  sa perte. Ce portrait de Belmondo en dandy pop est mis en sentiment par le compositeur François de Roubaix. Le rĂ©alisateur du Vieux Fusil CĂ©sar du meilleur film en 1976 s'offre ici son plus beau film."Rush" de Ron Howard 2013Rush raconte le duel sans merci entre les deux pilotes de Formule 1 les plus brillants de leur gĂ©nĂ©ration James Hunt sur McLaren et Niky Lauda sur Ferrari lors de la mĂ©morable saison 1976. A l’époque, le facĂ©tieux pilote anglais, cĂ©lĂšbre pour ses beuveries, ses coucheries et son Ă©ternelle clope au bec, peine Ă  contenir l’Autrichien tenant du titre, besogneux et calculateur, lorsque celui-ci est victime d’un tragique accident au Grand prix d’Allemagne. Sa voiture s’enflamme et le brĂ»le griĂšvement au visage, le laissant plusieurs jours entre la vie et la mort. Le film retrace admirablement le retour en piste du coureur, au bout de quelques semaines seulement, poursuivant jusqu’au dernier Grand Prix sa bataille pour le titre suprĂȘme. Lauda qui a conseillĂ© le rĂ©alisateur Ron Howard pendant le tournage, avouait Ă  GQ lors d’une interview qu’il a eu du mal Ă  regarder les terribles scĂšnes d’hĂŽpital reconstituĂ©es dans le film."Jour de Tonnerre" de Tony Scott 1990Quatre ans aprĂšs Top Gun, Tom Cruise et le rĂ©alisateur Tony Scott frĂšre de Ridley remettent le couvert avec un film de courses viril en milieu Nascar le sport auto le plus populaire aux Etats-Unis. C’est sur ce tournage que l’acteur, qui incarne un coureur en perte de vitesse, rencontre Nicole Kidman. Le couple qu'ils forment est d'ailleurs le principal intĂ©rĂȘt d'un film encore marquĂ© par les annĂ©es 80."Cars" de John Lasseter et Joe Ranft 2006Pour son septiĂšme long-mĂ©trage, le premier dans l'Ă©curie Disney, Pixar donne vie Ă  un monde peuplĂ© de voitures et met en scĂšne Flash McQueen, jeune proto indĂ©fini et champion de course avide de succĂšs qui se retrouve par accident en plein dĂ©sert dans la petite ville de Radiator Springs sur la mythique Route 66. Au cours de ses pĂ©rĂ©grinations, il croise la route de Sally, une rutilante Porsche 996 pas franchement apprĂ©ciĂ©e par les connaisseurs mais aussi de Doc Hudson, une Hudson Hornet Ă  laquelle le regrettĂ© Paul Newman prĂȘtera sa voix. AprĂšs un deuxiĂšme volet moins rĂ©ussi malgrĂ© une sombre affaire de vengeance de voitures moches, un 3e Ă©pisode est en prĂ©paration."Cosmopolis" de David Cronenberg 2012Une limousine dĂ©file dans un Manhattan en plein chaos avec Ă  son bord Eric Parker Robert Pattinson, un golden boy de Wall Street dĂ©terminĂ© Ă  aller chez son coiffeur de l’autre cĂŽtĂ© de la ville. AdaptĂ© de Don DeLillo, Cosmopolis fait de la voiture une bulle luxueuse oĂč les plus riches se sont retranchĂ©s du monde. Gare au crash."L'Ă©quipĂ©e du Cannonball" de Hal Needham 1981ComĂ©die des annĂ©es 80, L'Ă©quipĂ©e du Cannonball retrace avec humour et un concentrĂ© d’acteurs star impressionnant Burt Reynolds, Roger Moore, Jackie Chan, Dean Martin 
 l’organisation d’une course dont le dĂ©part est donnĂ© dans une petite ville du Connecticut. Le but ? Traverser le pays le plus rapidement possible en dĂ©jouant les piĂšges tendus sur des routes non fermĂ©es Ă  la circulation. Au menu filles en mini-short, ambiance potache et chauffards qui roulent des mĂ©caniques. Un bon vieux car-movie des familles."Fast and Furious" de Rob Cohen 2001Dans les interminables aventures de Fast & Furious, les bolides ont le beau rĂŽle. Au point que le casting automobile apparait aussi important que celui des acteurs. En tout cas indissociable. Vin Diesel sans sa Dodge, ce serait un peu comme Julianne Moore sans ses taches de rousseur. La bagnole devient un composant essentiel de l’identitĂ© du personnage. Les voitures sont Ă  l’image des hĂ©ros multiculturelles. Il y a des amĂ©ricaines bien sĂ»r, mais aussi des allemandes, des anglaises et des italiennes. Elles forment une communautĂ© automobile Ă©clectique, mi-vintage mi-moderne, Ă  base de custom et de grosses cylindrĂ©es. Une franchise iconique du troisiĂšme millĂ©naire, qu'on le veuille ou non."The French Connection" de William Friedkin 1971InspirĂ©e d’une histoire vraie, celle de l’enquĂȘte sur la filiĂšre de distribution d’hĂ©roĂŻne aux Etats-Unis depuis Marseille, The French Connection est aussi une histoire de voitures un des protagonistes principaux du film n’est autre que la Lincoln Continental Mark III Ă©quipĂ©e d’une plaque française qui sert Ă  transporter la drogue. Pour l’anecdote, la vraie histoire raconte que le vĂ©ritable ancĂȘtre du go fast Ă©tait en rĂ©alitĂ© une Buick Invicta de 1960."Hell Driver" de Patrick Lussier 2011Film de bagnoles surrĂ©aliste le hĂ©ros est tout de mĂȘme revenu des morts et est poursuivi par le bras droit du diable ponctuĂ© de punchlines vrombissantes, Hell Driver fait partie des grands moments cinĂ©matographiques bis de Nicolas Cage de la sĂ©rie Z pleine de testostĂ©rone avec un second rĂŽle Amber Heard presque aussi sexy que sa Dodge Charger de 1969."Night Call" de Dan Gilroy 2014Dans Night Call, Jake Gyllenhaal incarne Lou Bloom, un solitaire qui s’invente une existence sociale en filmant des scĂšnes de faits divers pour les infos locales. Traits Ă©maciĂ©s, cernes noirs, regard au fond des orbites
 l'acteur Ă©voque un vautour sillonnant les rues de Los Angeles la nuit. A bord de sa Dodge Challenger rouge sang, suivant Ă  la trace les appels d’urgence, il fond sur les hĂ©catombes urbaines pour s’en repaĂźtre et vendre ses images sanglantes au plus offrant. Naviguant entre thriller urbain et satire des mĂ©dias, le premier film de Dan Gilroy photographie les banlieues californiennes comme les cercles de l’Enfer. Parvenant Ă  montrer des poursuites en voiture dans Los Angeles sous un jour nouveau. Pas un mince exploit."The Green Hornet" de Michel Gondry 2011Dans The Green Hornet de Michel Gondry, Seth Rogen revĂȘt le costume du Frelon Vert aprĂšs s’ĂȘtre dĂ©lestĂ© de 20kg pour le rĂŽle, dĂ©ploie sa verve comique dĂ©sormais signature et surtout, dĂ©pote au volant d’une Chrysler Imperial Crown gorgĂ©e de gadgets en tout genre imaginĂ©s par son comparse Kato. La clĂ© d’un film de super hĂ©ros bricolĂ©, loin du clinquant de Marvel."Le Corniaud" de GĂ©rard Oury 1965Sans bagnole, ce film n'est plus du tout le mĂȘme ou juste un court mĂ©trage soft porn pudibond dans lequel un lutteur et un petit monsieur se jaugent sous la douche. Mise en miettes par la Rolls d'un truand grotesque, La 2CV d'un pĂ©quenaud se transforme en Cadillac Deville 1964 truffĂ©e de came et de diamants volĂ©s qui sera filĂ©e par une splendide Jaguar MK2. La beautĂ© de ce road movie tournĂ© entre la France et l'Italie est Ă  revoir sans les dialogues, mais sur une musique minimale et solaire Steve Reich, Neil Young, Joe Dassin, etc, comme une longue contemplation de l'art de vivre Ă  la française."Le Grand Embouteillage" de Luigi Comencini 1979InspirĂ© d’une nouvelle de l’écrivain argentin Julio CortĂĄzar et prĂ©sentĂ© au festival de Cannes 1979, Le Grand Embouteillage raconte, comme son nom l’indique, un trĂšs gros bouchon aux abords de Rome. CoincĂ©s pendant 24 heures dans cet enfer automobile, les personnages incarnĂ©s par quelques-uns des plus grands acteurs de l’époque GĂ©rard Depardieu, Marcello Mastroianni et Patrick Dewaere partent en vrille dans un film grinçant, grotesque et fidĂšle aux codes de la comĂ©die satirique italienne, dont Comencini est un des plus Ă©minents reprĂ©sentants."The Blues Brothers" de John Landis 1980Sans doute le plus beau film de carambolage qui traite aussi bien du R'n'B. RĂ©alisĂ© par John Landis - auteur du clip de "Thriller", oui oui - le film est un petit prĂ©cis de badass attitude Ă  l'intention des amoureux des temps rĂ©volus qui fleure bon l'avant choc pĂ©trolier. Le tout Ă  bord de paquebots de lĂ©gendes Buick, Chevrolet Bel Air, Cadillac et autre Dodge qui valdinguent dans tous les sens. Le terrible scat de Cab Calloway en prime. Hi De Hi De Hi De Hi!"American Graffiti" de George Lucas 1973EtĂ© 1962 Ă  Modesto en Californie. Une bande de copains de lycĂ©e s'apprĂȘtent Ă  se sĂ©parer pour rejoindre leur universitĂ© respective et dĂ©marrer une nouvelle vie. A bord de leur bolide Chevrolet Impala 1958, hot rod, Ford Thunderbird 1956, Mercury Coupe 1951..., ils passent une derniĂšre nuit Ă  parader avec leurs petites amies en quĂȘte de leurs histoires adolescentes sur des airs des Platters, Chuck Berry, Fats Domino, Buddy Holly, Bill Haley, des Beach Boys... Deux ans aprĂšs l'Ă©chec de son permier long-mĂ©trage THX 1138, Lucas rĂ©alise une sorte de film documentaire sur les annĂ©es 50, associant la drague, les courses et le rock. Un hommage nostalgique Ă  sa jeunesse synonyme de premier succĂšs commercial pour le pĂšre de Star Wars."Transformers" de Michael Bay 2007Des robots, des voitures, et des filles bien carrossĂ©es telle est la recette du succĂšs de la saga depuis 2007. AdaptĂ© de la sĂ©rie Ă©ponyme des annĂ©es 80, le blockbuster raconte en gros l’histoire de robots extra-terrestres qui prennent la forme de bagnoles le plus souvent mythiques Chevrolet, Cadillac, Porsche Cayenne S, et bien d’autres. Amateurs de belles carrosseries et de scĂšnes explosives, Transformers est fait pour vous."Le Transporteur" de Louis Leterrier et Corey Yuen 2002Un ancien agent des services spĂ©ciaux qui met ses talents de pilote au service de mecs un peu louches sur les bords, ça finit forcĂ©ment par des courses poursuites ahurissantes Ă  bord de bolides survitaminĂ©s. Jason Statham, qui rĂ©alise 80% des cascades, fait donc crisser les pneus d'une BMW 750i dans le vieux Nice et croise mĂȘme sur sa route une Peugeot 406 immatriculĂ©e dans le 13. Un clin d'Ɠil Ă  peine masquĂ©e Ă  la saga Taxi, avec laquelle le film de Louis Leterrier et Corey Yuen partage pas mal de scĂšnes."Le Vent de la nuit" de Philippe Garrel 1999Une bourgeoise qui s’ennuie Catherine Deneuve, un Ă©tudiant un peu chien fou Xavier Beauvois, un architecte blasĂ© Daniel Duval. Et, au milieu de ce trio amoureux, une Porsche rouge vif sur les routes de l’Italie qui attise les dĂ©sirs et la nostalgie d’un passĂ© glorieux Le MĂ©pris de Godard n’est pas loin. Attention, si la route est ici somptueuse, elle est aussi mortifĂšre."Mort d'un pourri" de George Lautner 1977Dans ce film de la fin des annĂ©es 70 sur la corruption, il y a le plus beau vĂ©hicule jamais produit en France, Alain Delon, son concurrent en fin de parcours Maurice Ronet, la sĂ©rie limitĂ©e allemande, Klaus Kinski, et le nouveau modĂšle italien, Ornella Muti. Il n’est donc pas Ă©tonnant d’y voir le hĂ©ros, Delon, poursuivi par une Buick Electra ou une Rolls Royce Silver Shadox, passer son temps Ă  Ă©chapper Ă  des tueurs et des flics dans une Alfa Romeo 2000."Motorway" de Cheang Pou-Soi 2012Slow and Furious. Cheung est un jeune flic fougueux qui ne rĂȘve que de poursuivre les malfrats en voiture. M. Lo un vieux flic proche de la retraite qui ne rĂȘve que de se ranger des voitures
 Les deux forment un improbable duo. Jusque-lĂ , cela ressemble un classique film de "cops" hollywoodien. Sauf que nous sommes Ă  Hong Kong oĂč les ruelles, les venelles plutĂŽt, s'avĂšrent aussi Ă©troites que les avenues amĂ©ricaines sont larges. Seul moyen de serrer les braqueurs? Apprendre Ă  rĂ©aliser de lents "rifts" Ă  angle droit, 8000 tours minutes, 2km/h, avec les pneus qui crament et la voiture qui bouge doucement sur elle-mĂȘme, dans le quartier de Kojwoon. Dans sa Nissan S13, le "jeune" Cheung ne sait pas y faire. Le vieux Lo si, Ă©videmment. Il lui transmet ses secrets de conduite par tĂ©lĂ©pathie autour d'un mot d'ordre. Et d'une belle parabole "Une voiture, ça se rĂ©pare. Un homme pas toujours"."Voie Rapide" de Christophe Sahr 2011TournĂ© avec un budget cent fois moindre – 650 000 euros - que celui d'un Ă©pisode Fast and Furious, Voie rapide est l'un des rares films d'auteur français Ă  s'intĂ©resser au culte automobile. Et plus spĂ©cialement au "tuning". Le tout sans mĂ©pris. Il dĂ©crit les aventures tumultueuses d'Alex Johann Libereau et de sa Honda Civic jaune et noire immatriculĂ©e dans le 91 dont la relation fusionnelle se complique Ă  la suite d'un mystĂ©rieux accident
 sans oublier le sexe, les mensonges, les bĂ©do et les jeux vidĂ©o. Un beau cours d'Ă©ducation Civic."Daft Punk's Electroma" 2007Pour leur seul long-mĂ©trage Ă  ce jour, les Daft Punk ont rĂ©alisĂ© en 2006 le film le plus lent du monde malgrĂ© sa Ferrari centrale. Dans un sublime et discret modĂšle 412 noir immatriculĂ© "Human", les robots traversent une zone dĂ©sertique des Etats-Unis, doublent sans forcer un tracteur et pĂ©nĂštrent dans une ville peuplĂ©e de robots Ă  leur image. Electroma est une vaste allĂ©gorie de leur tentative de redevenir humain. Ce qui a finalement dĂ» leur arriver puisque lorsqu’ils ont mis aux enchĂšres la Ferrari en question. Partie pour seulement euros
"Holy Motors" de Leos Carax 2012Monsieur Oscar Denis Lavant se rĂ©invente au fil de sa journĂ©e en diffĂ©rents personnages tour Ă  tour drĂŽles, touchants, mĂ©chants ou aventuriers. Théùtre de ses mĂ©tamorphoses, une limousine qui, tout au long du film, lui sert de loge. Objet Ă  la fois bling et toc, la voiture est ici vouĂ©e Ă  bientĂŽt disparaĂźtre. Comme ceux qui l’habitent et qui la filment."Un monde parfait" de Clint Eastwood 1993Certainement l'un des meilleurs films de Clint Eastwood. La cavale d'un voleur rĂ©cidiviste Kevin Costner et de son otage, un jeune tĂ©moin de JĂ©hovah qui devient, le syndrome de Stockholm aidant, une sorte de fils de substitution. Les deux Ăąmes perdues traversent le Texas des annĂ©es 60 Ă  bord d'une Ford Fairlane 500 volĂ©e, et croisent sur leur route des Oldsmobile Super 88 ou Vista Cruiser. On pleure Ă  la fin."Retour ver le futur" de Robert Zemeckis 1985Il aura suffit d’un film pour que le seul modĂšle de la marque DeLorean, la DMC-12, soit mondialement connu. De 1981 Ă  1983, seuls 9 170 exemplaires sont commercialisĂ©s, entraĂźnant l’arrĂȘt de la production. Universal mise pourtant sur cette DeLorean pour balader dans le temps le hĂ©ros de Retour vers le futur, en 1985. Son design futuriste et ses portes papillons collaient parfaitement avec les aventures spatio - temporelles de Marty McFly et Doc Brown. C'est aussi l'une des nombreuses voitures de notre Cover Boy du mois, Tony Parker."The Driver" de Walter Hill 1978RĂ©alisateur adulĂ© par Quentin Tarantino, Walter Hill est un faiseur de gĂ©nie. The Driver, avec Ryan O'Neal starlette de l'Ă©poque, dĂ©marre par une course poursuite dont la forte ressemblance avec la scĂšne inaugurale de Drive 25 ans plus tard est tout sauf fortuite. Une Isabelle Adjani mĂ©connaissable y interprĂȘte une femme tĂ©moin d'un braquage que notre chauffeur au coeur sensible va s'empresser de prendre sous son aile."Ten" d'Abbas Kiarostami 2002Deux petites camĂ©ras numĂ©riques embarquĂ©es dans une voiture. Au volant, une femme iranienne remariĂ©e. Les passagers dĂ©filent les uns aprĂšs les autres Ă  l’avant du vĂ©hicule tout au long de ce film-concept entre le documentaire et la fiction. L’occasion pour Abbas Kiarostami d’évoquer, dans ce cadre trĂšs resserrĂ©, l’enfermement des femmes en Iran et les alĂ©as de la vie."Le Mans" de Lee H. Katzin 1971Steve Mcqueen rĂȘvait de rĂ©aliser le film de course automobile ultime. L’histoire n’a que peu d’importance, puisqu’il s’agit d’un pilote amĂ©ricain nommĂ© Michael Delaney qui court en souvenir de son ami dĂ©cĂ©dĂ© l’annĂ©e d’avant et tombe amoureux de la veuve. C’est tout. Peu de dialogue et beaucoup, beaucoup de bruits de moteur dans ce "docu-fiction" devenu culte qui montre admirablement l’ambiance et la tension qui rĂšgne chaque annĂ©e, lors de la plus cĂ©lĂšbre course d’endurance du monde. La plupart des images des camĂ©ras embarquĂ©es proviennent de l’épreuve de 1970 alors que les plans de coupes avec McQueen ont Ă©tĂ© tournĂ©s aprĂšs lors d’une reconstitution de la course avec 25 voitures dont des Porsche, des Ferrari et des Matra. C’est Ă  ce moment lĂ  seulement que les assurance ont permis Ă  McQueen de conduire lui mĂȘme la Porsche 917 Gulf. L’acteur a tout de mĂȘme manquĂ© de se tuer en frĂŽlant un camion Ă  300 km/h."Rubber" de Quentin Dupieux 2010Quand il ne tyrannise pas nos journalistes en les accusant de dĂ©former ses propos, pourtant fidĂšlement retranscrits, Quentin Dupieux sait faire des films uniques dans le cinĂ©ma français. Film de pneu plus que de bagnole, Rubber suit donc un pneu qui erre dans le dĂ©sert et qui, lorsqu'on l'Ă©nerve un peu trop, se transforme en tueur, mais qui regarde aussi la tĂ©lĂ© dans sa chambre de motel, tranquillement."Drive" de Nicolas Winding Refn 2011Urbain, techno et sanglant, Drive dĂ©marre sur les chapeaux de roue avec une magistrale course-poursuite nocturne. Au volant d'une Chevrolet Impala, le trĂšs mutique Ryan Gosling, qui traverse le film presque sans dialogue. Que son personnage s'acharne Ă  Ă©craser Ă  coups de bottes le crĂąne d'un gangster ou qu'il cale son timing de chauffeur spĂ©cialisĂ© dans les hold-up sur la retransmission Ă  la radio d'un match de foot US, l'acteur joue Ă  l'Ă©conomie, en exprimant juste ce qu'il faut."Sugarland Express" de Steven Spielberg 1974Lou Jean Poplin, jeune femme passablement larguĂ©e, dĂ©cide de reconstruire sa famille dont les membres sont Ă©parpillĂ©s mari en cage et fils en famille d'accueil. Une fois le mari Ă©chappĂ© de sa cellule, le couple file en Buick Roadmaster Riviera Ă  la recherche du rejeton. En cours de route, ils prennent un policier en otage et se retrouvent poursuivis par une interminable file de vĂ©hicules mĂȘlant forces de l'ordre et journalistes Ă  travers tout le Texas. Pour son premier long-mĂ©trage destinĂ© au cinĂ©ma, Steven Spielberg se penche Ă  nouveau sur le road movie. Un an avant Les dents de la mer, il dĂ©croche aussi son premier prix, celui du scĂ©nario Ă  Cannes."La Fureur de vivre" de Nicholas Ray 1955Si les voitures sont surtout un Ă©lĂ©ment de dĂ©cor comme un autre dans La Fureur de vivre, ce teen movie avant l'heure signĂ© du grand Nicolas Ray, une sĂ©quence dĂ©cisive du film les met joliement Ă  l'honneur. FraĂźchement dĂ©barquĂ© dans une nouvelle ville, le jeune Jim Stark James Dean et son cuir rouge iconique doit dĂ©fier la star locale du lycĂ©e dans un pĂ©rilleux concours motorisĂ© en bord de falaise, au volant d'une Chevrolet Special De Luxe. Les autres voitures servent Ă  Ă©clairer la scĂšne avec leurs phares. Le reste appartient Ă  la lĂ©gende."Gran Torino" de Clint Eastwood 2008C'est le road movie le plus statique de l'histoire du cinĂ©ma. Vieux rĂ©ac aigri, ancien ouvrier chez Ford, Walt Kowalski Clint Eastwood impĂ©rial, qui porte le nom du hĂ©ros de Vanishing Point, tiens tiens bichonne sa voiture dans son backyard. Et quelle voiture! C'est une Gran Torino, connue plutĂŽt chez nous pour son rĂŽle principal dans la sĂ©rie Starsky et Hutch la fameuse "tomate enrubannĂ©e". Cela n'Ă©chappe pas Ă  son jeune voisin chinois Thao Bee Vang, installĂ© dans la maison d’à cĂŽtĂ©, qui tente de la lui voler au dĂ©but du film. Sans trop "spoiler" le film, Kowalski et Thao finissent contre toute attente par fraterniser autour de cette vieille relique Ford, toujours tankĂ©e au garage. Cette derniĂšre devient mĂȘme un objet "transmissionnel"entre ces deux hommes qu'Ă  priori tout sĂ©pare."Week-end of a Champion" de Roman Polanski et Frank Simon 1971Jackie Stewart le triple champion du monde de Formule 1 1969, 71, 73 en slip dans sa chambre d’hĂŽtel qui explique Ă  son ami cinĂ©aste Roman Polanski comment prendre la meilleure trajectoire en dessinant sur la nappe du petit dĂ©jeuner, constitue la scĂšne d’anthologie du documentaire Weekend of a Champion. Dans ce film tournĂ© en 1971 lors du prestigieux grand prix de Monaco, on voit aussi tous les grands champions de l’histoire de la F1, Fangio, Stirling Moss, Graham Hill, ainsi que le jeune et talentueux français François Cevert, mort tragiquement quelques mois aprĂšs. A la fin du film, quarante ans plus tard, Stewart et Polanski se retrouvent dans la mĂȘme chambre d’hĂŽtel et commentent les progrĂšs rĂ©alisĂ©s pour la sĂ©curitĂ© des pilotes de F1. Un grand moment."Week-end" de Jean-Luc Godard 1967Si vous avez Ă©tĂ© choquĂ© - comme certains lors de sa projection Ă  Cannes - par Crash, le film de Cronenberg, ne regardez jamais Week-end ! C'est l'un des tableaux les plus dĂ©capants et stylisĂ©s de la civilisation automobile ses pulsions barbares, son carnage annuel dix mille morts par an au moment du tournage, 1967. Soit les aventures ultrachauffardes du jeune couple composĂ© par Corinne et Roland Jean Yanne et Mireille Darc qui, Ă  bord d'une Facel Vega convertible, ne recule devant rien - conduite Ă  tombeau ouvert, cyclistes renversĂ©s - pour rejoindre sa destination. Oui, mais laquelle au fait ?"Bullitt" de Peter Yates 1968Steve Mcqueen et la Ford Mustang verte contre la Dodge Charger noire dans les rues vallonnĂ©es de San Francisco ont suffi Ă  rendre ce film culte. L’histoire en revanche est un peu alambiquĂ©e, le lieutenant Bullitt McQueen doit surveiller un homme sensĂ© tĂ©moigner contre la mafia. En rĂ©alitĂ© il s’agit d’un usurpateur qui se fait descendre. Peu importe, on ne retient que la poursuite longue d’une dizaine de minutes et la musique lancinante de Lalo Schiffrin. A noter que la Dodge Charger repeinte en orange deviendra culte par la suite grĂące Ă  la sĂ©rie ShĂ©rif, fais-moi peur."Brown Bunny" de Vincent Gallo 2004Un pilote de moto ce qu’a vaguement Ă©tĂ© l’acteur/rĂ©alisateur Ă  une Ă©poque, sorte de dieu mutique et mĂ©lancolique un peu Ă  la maniĂšre de Clint Eastwood dans Pale Rider, traverse les Etats-Unis dans un van un Dodge Ram pour retrouver une femme. Vincent Gallo invente, le temps de quelques brĂšves rencontres ou d’une Ă©chappĂ©e en moto dans le dĂ©sert, un road-movie minimaliste et autocentrĂ©. Un film de famille solitaire qu’il a non seulement rĂ©alisĂ©, mais aussi montĂ©, photographiĂ©, Ă©crit, produit et dont il a composĂ© la musique. Bref un car-movie masturbatoire qui se finit comme il se doit par une pipe. Somptueux."Tucker" de Francis Ford Coppola 1988Dans ce film de 1988, Francis Ford Coppola raconte la vie de Preston Tucker. Cet ingĂ©nieur amĂ©ricain interprĂ©tĂ© brillamment par Jeff Bridges voulait rĂ©volutionner l’automobile en 1948 avec un modĂšle avant-gardiste, trĂšs aĂ©rodynamique, dotĂ© de feux de route directionnels et de ceintures de sĂ©curitĂ©. Malheureusement les trois grands constructeurs Ford, Chrysler et GM manƓuvrent pour bloquer les projets. Le film, co-scĂ©narisĂ© par George Jedi » Lucas, est de bonne facture mais les critiques cinĂ©ma, gĂ©nĂ©ralement peu sensibles Ă  l’automobile, y voient surtout une analogie avec la vie de Coppola et l’échec de son Studio American Zoetrope face aux gros studios hollywoodiens."Le plein de super" d'Alain Cavalier 1976Deux types louches Patrick Bouchitey et Etienne Chicot s'incrustent Ă  bord d'une belle amĂ©ricaine conduite par un vendeur de voitures et son ami, tous deux trĂšs comme il faut en apparence. Un road movie grisant doublĂ© d'un buddy movie libertaire, par un rĂ©alisateur au style habituellement bien plus austĂšre du moins par la suite. La scĂšne du coup de fil au patron fait toujours son petit effet."Mad Max" de George Miller 1979Dans ce western post-apocalyptique, Max Rockatansky Mel Gibson est un policier chargĂ© de faire rĂ©gner l'ordre et de combattre les bandes de pirates de la route en quĂȘte de pĂ©trole Ă  bord de son Interceptor — une Ford Falcon XB uniquement destinĂ©e au marchĂ© australien. Ce qui devient Ă  l'Ă©poque le plus grand succĂšs du cinĂ© aussie accouche au final d'une franchise plus ou moins heureuse dont on attend le 4e volet en 2015."Trafic" de Jacques Tati 1971C'est le film mĂ©sestimĂ© de Tati - si l'on compare Ă  Mon Oncle ou Playtime. Peut-ĂȘtre parce que son personnage principal est une voiture, une 4L camionnette transformĂ©e en astucieux camping car. DessinĂ©e par Monsieur Hulot, plus que jamais notre "Chaplin" français jouĂ© par Jacques Tati, ce modĂšle doit ĂȘtre exposĂ© au Salon de l'automobile d'Amsterdam. Mais le pĂ©riple s'avĂšre beaucoup plus compliquĂ© que prĂ©vu. Epique, poĂ©tique, anarchique. TruffĂ©e d'inventions comiques et graphiques – une incroyable scĂšne d'accident au ralenti – Trafic est forcĂ©ment l'une des matrices de la saga Cars de Pixar."Duel" de Steven Spielberg 1971Sur une petite route californienne, une Plymouth Valiant de 1971 est prise en chasse par un camionneur qu'elle a dĂ©passĂ© Ă  plusieurs reprises. C'est par ce scĂ©nario simplissime que Spielberg signe Ă  seulement 24 ans un premier long mĂ©trage d'abord destinĂ© au petit Ă©cran. Un thriller qui prĂ©lude quelques-uns de ses plus grands succĂšs. L'apparition de l'Ă©norme camion Peterbilt 281 dans le rĂ©troviseur de la Plymouth n'est pas sans rappeler celle du T-Rex de Jurassic Park 20 ans plus tard."Ricky Bobby Roi du circuit" de d'Adam McCay 2006Un film oĂč les voitures constituent plus un prĂ©texte Ă  faire des blagues qu'un vrai sujet. Will Ferrell et John C. Reilly, que l'on retrouvera tous deux dans l'irrĂ©sistible Frangins MalgrĂ© Eux, jouent un tandem de pilotes de circuit, comme Ă  leur habitude puĂ©rils, bornĂ©s et touchants. Leur rival, le Français Jean Girard, est incarnĂ© par un Sacha Baron Cohen en grande forme, fan de crĂȘpes."Boulevard de la mort" de Quentin TarantinoDu girl power sexy en Ford Mustang avec Rosario Dawson en chef de bande, un tueur prognate Kurt russel, excellent comme toujours en Chevrolet Nova et une BO explosive, Tarantino s'Ă©clate dans sa relecture pop du Grindhouse, du nom de ces sĂ©ries B voire Z qui Ă©taient jadis distribuĂ©es dans les salles amĂ©ricaines dans un programme double. Le film le plus platement linĂ©aire de son rĂ©alisateur. Le plus efficace aussi."Christine" de John Carpenter 1983À peine finalisĂ©e, une Plymouth Fury 58 blesse les deux ouvriers qui s’occupaient d’elle sur la chaĂźne de montage. Ce ne sera que le premier des nombreux mĂ©faits commis par la vilaine voiture rouge aux pouvoirs malĂ©fiques, hĂ©roĂŻne de cette adaptation d’un roman de Stephen King. L’engin sert ici de vĂ©hicule pour traiter de l’adolescence et du pouvoir destructeur de la passion."Sorcerer" de William Friedkin 1977Au rayon film Ă  tournage compliquĂ© des annĂ©es 70, Apocalypse Now de Coppola a un sĂ©rieux rival, le trop bien nommĂ© Sorcerer. L'histoire de 4 hommes exilĂ©s en AmĂ©rique du Sud, qui, en quĂȘte de salut, prennent la tĂȘte d'un convoi de poids lourds transportant de la nitroglycĂ©rine. TraversĂ© par des visions psychĂ©dĂ©liques d'une beautĂ© fiĂ©vreuse, ce road trip en camion dans la jungle est un pur chef-d'oeuvre. Malheureusement pour lui, il Ă©tait sorti la mĂȘme semaine que le premier Star Wars."Point Limite ZĂ©ro" de Richard C. Sarafian 1971Sorti la mĂȘme annĂ©e que Macadam Ă  deux voies, Point limite zĂ©ro emprunte une route radicalement diffĂ©rente – celle du dĂ©lire psychĂ©. OĂč l’on croise une femme nue Ă  moto, pendant une course-poursuite gĂ©ante entre un ex-pilote de course allumĂ© sous marijuana et des flics pas trĂšs nets. Ce manifeste de la contre-culture et de la gĂ©nĂ©ration contestataire s’achemine naturellement vers San Francisco, capitale du Flower Power. Le groupe briton Primal Scream a rendu hommage Ă  Sarafian en nommant un album d’aprĂšs le titre original du film Vanishing Point, 1997."Crash" de David Cronenberg 1996AdaptĂ© d'un roman de l'immense Ă©crivain anglais Ballard, Crash demeure peut-ĂȘtre le plus grand film de Cronenberg. Un car movie dĂ©viant, oĂč la voiture est un vĂ©hicule sexuel plus qu'un moyen de transport. Un habitacle Ă  fantasmes glacĂ©s et morbides. A la suite d'un accident de voiture, James Spader entame une liaison avec une passagĂšre de la voiture avec laquelle il est entrĂ© en collision Rosanna Arquette. Le dĂ©but d'un voyage Ă©trange et sans retour vers un idĂ©al de libido mĂ©canique. Beau et dĂ©rangeant."Macadam Ă  deux voies" de Monte Hellman 1971A l'Ă©tĂ© 1971, Macadam Ă  deux voies sort aux Etats-Unis dans l'indiffĂ©rence gĂ©nĂ©rale. Qu'importe, le gĂ©nie se mesure dans la postĂ©ritĂ©. Au fil des ans ce road movie brĂ»lant comme un moteur Ă  combustion se forge un statut qui confine mythe. Demandez-donc Ă  Tarantino. L'histoire ? Deux types the driver et the mechanic jouĂ©s par des musiciens le Beach Boy Dennis Wilson et James Taylor parcourent l'Ouest amĂ©ricain au fil des courses amateurs dans un Chevrolet One Fifty de 1955. En chemin ils embarquent une belle autosoppeuse Laurie Bird et se trouve un rival aussi toquĂ© de voitures qu'eux, le bien nommĂ© GTO, au volant d'une Pontiac GTO de 70 le merveilleux Warren Oates, vu notamment dans les films de Sam Peckinpah. De la rencontre nĂ©e un dĂ©fi qui ralliera le plus vite Washington. Si un triangle amoureux complique l'affaire, l'essentiel se joue sur la route, dans les bruits de moteur et la conduite fiĂ©vreuse, de jour comme de nuit, jusqu'Ă  l'engourdissement. A la fin, le film lui-mĂȘme s'embrase, littĂ©ralement.

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Le retour du radio-feuilleton Ă  la radio de Radio - Radio Le retour du radio-feuilleton Ă  la radio de Radio-Canada AU TOUR DE NANA Le mardi 17 septembre 2002 – La PremiĂšre ChaĂźne radio de Radio-Canada remet l’univers du radio-feuilleton au goĂ»t du jour avec Au tour de Nana, une crĂ©ation radiophonique originale adaptĂ©e par Gilbert Lepage d’aprĂšs l’Ɠuvre de Michel Tremblay. InspirĂ© des piĂšces et des romans oĂč il est question de Nana, Gilbert Lepage a concoctĂ© 50 Ă©pisodes sur Nana et son univers, racontĂ©s par le fils cadet, Jean-Marc. Nana, interprĂ©tĂ©e par la comĂ©dienne Rita Lafontaine, c’est la mĂšre quĂ©bĂ©coise, comme nous la dĂ©crit Gilbert Lepage Un personnage qu’on aime et qu’on reconnaĂźt, c’est LA mĂšre quĂ©bĂ©coise celle qui sait, celle qui comprend, celle qui rĂȘve, celle qui est drĂŽle. » Figure principale du radio-feuilleton, Nana est entourĂ©e d’une trentaine de personnages, tous plus colorĂ©s les uns que les autres. L’univers radiophonique le permettant, on y retrouve outre les sons du tramway qui traverse le Plateau MontRoyal et les portes d’entrĂ©e ou de cuisine qui claquent, les thĂšmes musicaux des vieilles Ă©missions Ă©coutĂ©es par les personnages et de larges extraits des chansons de Luis Mariano! La construction des Ă©pisodes, qui respecte en tous points l’écriture propre Ă  l’Ɠuvre de Michel Tremblay, offre une succession d’histoires et d’anecdotes indĂ©pendantes les unes des autres, mais toujours captivantes, qui nous laissent avec le goĂ»t d’y revenir le lendemain ». Le radio-feuilleton occupe une place unique dans l’imaginaire collectif des QuĂ©bĂ©cois. Qui n’a pas entendu parler, sinon Ă©coutĂ©, les grandes sĂ©ries de notre radio Un homme et son pĂ©chĂ© ou La famille Plouffe, en passant par Jeunesse dorĂ©e ou Yvan l’intrĂ©pide
 GrĂące Ă  l’Ɠuvre de Gilbert Lepage et de Michel Tremblay, la radio de Radio-Canada est heureuse d’offrir Ă  nouveau Ă  ses auditeurs l’univers colorĂ© et fascinant du radio-feuilleton. Au tour de Nana, du lundi au vendredi Ă  11 h 20, Ă  partir du 23 septembre. – 30 – Renseignements StĂ©phanie Lincourt Chef, Communications de la radio Radio-Canada TĂ©l. 514 597-5873 
2 AU TOUR DE NANA DISTRIBUTION NANA , JEAN-MARC enfant, JEAN-MARC adolescent, JEAN-MARC jeune homme, JEAN-MARC adulte, GABRIEL, VICTOIRE, ALBERTINE, ÉDOUARD, MARCEL, LE CHAT DUPLESSIS, THÉRÈSE adolescente, RICHARD adolescent, LISE ALLARD, MADAME ALLARD, MON ONCLE BÉBÉ, MADAME PARADIS, MADAME ROULEAU, MONSIEUR GARIEPY, CHAUFFEUR DE TAXI, GUICHETIÈRE DE CINÉMA, RÉMI JODOIN, PHILIPPE jeune homme, RICHARD jeune homme, MADAME BASTIEN, RÉAL BASTIEN, GUICHETIÈRE DU THÉÂTRE, LE ROUQUIN, VIEILLE ANGLAISE, GUICHETIÈRE DU HER'S MAJESTY », CHRONIQUEUR CULTUREL, JACKIE, AMBULANCIER et INFIRMIER, Rita Lafontaine Samuel Robichaud Philippe Charbonneau Benoit Langlais Gilles Renaud Donald Pilon Monique Mercure AdĂšle Reinhardt Claude Gai Martin FrĂ©chette Pierre Lebeau Marie-Ève Gouin Francis William RhĂ©aume Kathleen Fortin Micheline Poitras Daniel BriĂšre Elsa Lessonini Sophie Caron Jean-Robert Bourdage Alexis Martin Guillermina Kerwin Maxime Fournier Olivier Aubin Patrice Dubois Micheline Poitras Laurence Arcouette Alexandrine Agostini Patrice BĂ©langer Élisabeth ChouvalidzĂ© Guillermina Kerwin Jacques Bertrand Gary Boudreault StĂ©phane F. Jacques PRODUCTION Auteur, ScĂ©nariste, RĂ©alisateurs, Preneurs de son, Post-production sonore et mixage, RĂ©alisateur-coordonnateur, Michel Tremblay Gilbert Lepage Marie-HĂ©lĂšne Copti et Jean Gagnon Serge Brideau et Yves ClĂ©roux RĂ©jeanne Leblanc Jean Gagnon Indicatif musical, La CathĂ©drale des cure-dents P. Comelade, Ă©tiquette Delabel, no 841 8026
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